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Loe AmbroseADMIN - EGOÏSME
♦ inscrit(e) le : 20/08/2013 ♦ messages : 189 ♦ crédit : fade out.
| Sujet: la beauté silencieuse Mar 20 Aoû - 22:30 | |
| TU ES PLUTÔT : |
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TU TE SITUES DANS LE GROUPE :
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loe ambroseNOM : ambrose. PRÉNOM(S) : loe. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : pula, croatie, le 10 aout. ÂGE : vingt-deux ans. ORIGINES : mi-croate, mi-russe. STATUT CIVIL : seulement seule. ORIENTATION SEXUELLE : les hommes, l'homme. PROFESSION/ETUDES : a fait des études en arts plastiques. est actuellement accessoiriste ce que te permet de bouger, de parcourir les pays. ce boulot, tu l'aimes, il te permet de voyager ce qui t'arranges comme dans le fond, tu es une grande aventurière avec la soif d'aventure. c'est grâce à lui si tu as réussi à te poser, en quelque sorte à acapulco. sans ça, tu aurais déjà quitté la ville depuis bien longtemps à la recherche d'un autre endroit à découvrir. AVATAR : britt robertson. tu adores te jouer des superstitions. (+) tu es dingue de crème anglaise, que ça soit sur du cake, de la glace, avec des fruits ou dans un verre. (+) tu vérifies toujours deux fois si la porte d'entrée est bien fermée. (+) tu enroules son essuie de bain autour de sa tête à chaque fois qu'elle lave sa chevelure ensoleillée. (+) tu passes ta vie à marcher pieds-nus, tu adores ça. (+) tu ne fumes pas, tu ne supportes même pas la fumée de cigarette mais comme ça fait pas bon ménage avec tes médicaments, de temps en temps, tu fais une exception. trouvez la logique. (+) tu parles le croate qui est ta langue d'origine accompagné du français bien que ton accent croate prend parfois le dessus sur tes phrases ce qui donne une consonance plutôt amusante et mignonne. tu parles aussi l'anglais ce qui est vachement plus simple comme tu as finallement "poser" (ça reste un bien grand mot) tes valises en amérique bien qu'à acapulco, la langue officielle est l'espagnol. (+) tous les matins, tu te tiens au courant de ton horoscope et à la fin de la journée tu compares ce que tu as vécut avec ce qui a été dit, c'est un passe temps comme un autre. (+) tu rêves de parcourir la route 66, elle t'attire, te fascine presque. (+) tu n'as confiance en personne, du moins pas assez pour te confier sur ta maladie. elle t'handicape et tu ne le supportes pas. (+) tu n'es pas capable d'aimer, tu réussis seulement à être méchante envers ceux qui te montrent des signes d'affections, en particulier avec alexander. (+) tu adores la moutardes. (+) tu as déjà visité une grande partie de l'europe. (+) tu adores boire du lait, matin, midi, soir. dès que l'envie tu prend. (+) tu possèdes très peu de photos de toi. (+) tu ne rates jamais un épisode d'esprit criminel et des expert. des fois, il t'arrive de faire des marathons, des soirées séries. PSEUDO/PRÉNOM : marine. AGE : la majorité. PAYS : belgique, genre le pays des frites, de la bière, tu vois quoi. ES-TU UN SCENARIO ? totalement inventé. FRÉQUENCE DE CONNEXION : tous les jours hors exceptions. COMMENT AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? j'en suis à la base, t'sais. QU'EN PENSES-TU ? je l'aime, bête question. UN PETIT MOT POUR LA FIN : à ma tendre étoile passionnée. - Spoiler:
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<taken>BRITT ROBERTSON</taken> <ps>~ loe ambrose</ps>
Dernière édition par Loe Ambrose le Ven 23 Aoû - 22:09, édité 4 fois |
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Loe AmbroseADMIN - EGOÏSME
♦ inscrit(e) le : 20/08/2013 ♦ messages : 189 ♦ crédit : fade out.
| Sujet: Re: la beauté silencieuse Mar 20 Aoû - 22:30 | |
| once upon a time c'est l'histoire de ma viela pièce est sombre, très sombre. impossible de voir à travers la noirceur ambiante. même un chat n'y arriverait pas. soudain, un jeu de lumière est projeté. puis un second. de haut en bas, de droite à gauche, ils se succèdent, se mélangent. c'est beau. puis la musique revient à tes oreilles. le genre de musique entrainante et folle alors tu commences à bouger légèrement tes pieds pour enfin te déchainer, sauter, te tortiller, te déhancher. la folie te guète, toi et ton corps. et tu rigoles, oui, comme jamais. parce que t'es heureuse. parce que tu t'éclates. et tu souris de plus belle. tu sais t'amuser. les mecs l'ont compris. quelques-uns ont tenté le diable en t'approchant. ils ne savent pas à qui ils s'attaquent, à quelle genre de fille tu es, mais ils foncent tête baissée. toi, dans ton monde, tu les laisses se coller à toi sans réagir, sans leur prêter la moindre petite attention. alors ils se lassent et vont voir ailleurs. de temps en temps, quand un se révèle mignon, tu joues avec. t'es comme ça et le jeu, t'aimes ça. mais au final, tu finis quand même par tous les jeter. sans exception. mais pour l'instant, tu danses. encore. toujours. et d'un coup, tes pieds sont restés collés contre le sol. plus rien. le calme se fait dans ta tête. comme si tu venais de te calmer d'un coup. l'envie d'être ici s'était alors envolée. un peu comme si d'un coup, tu n'étais plus motivée. les gens autour de toi, eux ne s'étaient pas arrêtés, ils continuaient de se mouver sans grâce. l'envie de quitter les lieux était devenue un besoin urgent. tu voulais partir loin de ces gens. tu voulais rentrer chez toi. respirer en fait. tu avais commencé à te frayer un chemin entre les fêtards qui te poussaient dans tous les sens. la panique avait pratiquement pris le dessus. tu ne comprenais pas ce qu'il se passait. tu fermais les yeux quelques secondes et enfin l'air fouettais ton visage. tu étais dehors. tu respirais un long coup avant d'entreprendre le chemin pour rentrer chez toi.
la nuit t'avait paru durer une éternité. sans trouver le sommeil, tu avais remué sans cesse de gauche à droite avec la seule envie de pleurer. sans aucune raison valable. c'était une envie. comme ça. pourtant, aucune larme ne filtrait, encombrant ton joli visage. non, rien du tout. tu étais restée la journée comme ça, dans ton lit. te lever te paraissait être un réel défi. or, tu n'avais le courage de rien, le gout à rien. tu voulais juste rester coucher et attendre. attendre quelque chose dont tu n'avais pas la moindre idée. ça avait duré une semaine jusqu'à ce que ton père n'en puisse plus de te voir agir de la sorte. « bordel lo', que se passe-t-il dans ta tête à la fin ?! » tu gardais le silence, les yeux fermés. « ça suffit maintenant! » il s'était approché de toi et d'un geste agile et net, il t'avait sorti du lit. d'un coup sec, tu avais ouvert les yeux et tu t'étais débattue sans retenue pour qu'il te lâche enfin. tes pieds avaient bien vite retrouvé le sol et sans qu'il ne puisse s'y attendre, tu avais foncé vers ton étagère que tu avais commencé de ruer de coups, de jeter tout à travers la pièce. et tu criais. tu criais de colère. ton père, les yeux écarquillés, le regard incrédule rivé sur toi, il ne comprenait rien. ses pupilles choquées ne savaient plus quoi faire.
il t'a forcé à entrer dans cette pièce aux couleurs claires. tu frissonnais presque de peur. qu'allait-il se passer. qu'allait-il advenir de toi. quels résultats allaient tomber. tellement de questions sans réponses. et puis une blouse blanche s'était présenté à toi et le diagnostic était tombé. « bi.. quoi. » « vous êtes bipolaire, mademoiselle. » le sol s'écroulait sous tes pieds. ce n'était pas possible. pas toi. pas comme ça. tu t'étais levée, sans un mot et tu avais quitté le cabinet sinistre. tu t'étais mise à courir. courir. à en perde haleine. encore et encore. puis tu t'étais stoppé une fois arrivée devant le seuil de ta maison. tu étais monté dans ta chambre et seule, tu t'étais effondrée sur ton lit.
aveugle. tu l’es. aveuglée par l’égoïsme. incapable d’aimer un être, tu te cramponnes à la solitude devenue ton âme sœur avec le temps. et lui, qui crie à l’injustice demande à ce que tu l’aimes. lui, et seulement lui. son cœur tout entier t’es dédié. quand ses doigts t’effleurent avec douceur infinie, tu le sens. tu sens son amour comme tu sens son souffle contre ton corps alors qu’il recherche le chemin de tes lèvres. il parcourt ta peau, s’arrête, dépose un baiser et reprend son chemin. tu le laisses faire. tu aimes ce contact, mais l’aimer lui ? non, il t’en demande trop. cette maigre carcasse que tu es est bien incapable de lui rendre cet amour qu’il te porte. bientôt, ses doigts viennent se fondre dans ta longue chevelure dorée et tu lui offres un fin sourire. un sourire qui en dit long. alors, il te murmure des mots doux, des mots mélodieux. quel romantique ringard. « tu es belle. » et ça flotte dans l’air, au dessus de vos têtes presque endormies, jusqu’à tes oreilles où derrière la gauche, il replace délicatement l’une de tes mèches rebelles. « dors. » lui réponds-tu simplement en quittant son regard pratiquement rempli d’étoiles. trop d’amour. trop de bonheur. trop de tout pour que tu ne puisses le supporter. tu te retournes, lui offrant pour tout remerciement, ton dos. tu sens toujours son regard passionné sur ta peau nue. comme chaque nuit que tu passes à ses côtés, tu sais qu’il ne va pas t’écouter. qu’au lieu de rejoindre les bras de morphée, il va t’observer avec intensité jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus. jusqu’à ce qu’il ne soit enlevé de force vers le pays des rêves enchanteurs. là où une copie de toi doit l’attendre avec hâte. là où cette pâle copie doit lui offrir l’amour dont il mérite. l’amour dont tu es inapte à lui offrir. d’un coup, tu sens sa respiration ralentir. il est parti. et tu te retournes, tu le regardes les yeux clos. l’innocence borde son visage presque enfantin. il est si paisible. si tranquille. un sourire sincère, un sourire heureux parsème sa frimousse angélique. il fait si calme dans la pièce sombre à présent. rien n’aurait pu venir gâcher cette quiétude soudaine, si ce n’est ses cris poussés à ton adresse. il crie ton prénom. chaque pores de son corps te désirent. te veulent. tu le sais, tu le sens, mais tu ne l’entends pas. c’est tellement plus facile de l’ignorer. de le laisser dans son petit cocon seul. tu es comme insensible. insensible à son message facial. dés lors, tu le laisses seul dans le lit et tu te lèves. tu attrapes tes vêtements qui épousent parfaitement les formes de ton corps. tu lui jettes un dernier regard, rempli d’une fausse tendresse puis d’une coup, l’amour qui flottait dans la pièce s’évanouit dans le jour levant. le semblant d’amour qui y régnait du moins. tu refermes la porte derrière toi et laisse le vent s’abattre contre ton visage candide. se mêler à tes boucles endiablées. le lit qui est le tient t’attend.
Dernière édition par Loe Ambrose le Jeu 22 Aoû - 23:03, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: la beauté silencieuse Mer 21 Aoû - 8:57 | |
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| Sujet: Re: la beauté silencieuse Mer 21 Aoû - 15:01 | |
| Reuuuuh |
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Loe AmbroseADMIN - EGOÏSME
♦ inscrit(e) le : 20/08/2013 ♦ messages : 189 ♦ crédit : fade out.
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Andrew J. HernandezAVENTURE
♦ inscrit(e) le : 11/08/2013 ♦ messages : 136 ♦ crédit : Tumblr, Google & Forum
| Sujet: Re: la beauté silencieuse Mer 21 Aoû - 18:41 | |
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Sixtheen FawkesREJOUISSANCE
♦ inscrit(e) le : 05/08/2013 ♦ messages : 167 ♦ crédit : bazzart
| Sujet: Re: la beauté silencieuse Mer 21 Aoû - 21:56 | |
| re beinvenue |
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♦ inscrit(e) le : 20/08/2013 ♦ messages : 158 ♦ crédit : mischievous wink
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Loe AmbroseADMIN - EGOÏSME
♦ inscrit(e) le : 20/08/2013 ♦ messages : 189 ♦ crédit : fade out.
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Pink HempsteadADMIN - SEPARATION
♦ inscrit(e) le : 04/08/2013 ♦ messages : 319 ♦ crédit : MON AMOUR, IDK BABY.
| Sujet: Re: la beauté silencieuse Ven 23 Aoû - 22:19 | |
| mon amouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuur. j'en peux plus de toi et de tes merveilleux personnages, le jour où tu t'arrêteras, tu me feras signe, hein. non, parce que là, tu me sors toujours des personnages à coupé le souffle. tu me rends triste, malade, malade d'amour parce que ta plume. oui, à chaque fois j'suis complètement prise dans l'histoire et ça me fait mal, loe jolem. puis britt, fin tu sais que je n'en suis pas forcément fan, mais ton bb te va si bien, tu la rends si belle. sinon en dehors de ça ta vie elle se passe ? tu veux que je te pisse dessus en guise de calin ? allez je sais que t'aimes ça par contre mamour, tu peux continuer à m'appeler bb panda, j'aime trop pour en revenir à loe, pour cette validation plus que canon, tu me dois un lien et aussi de faire un rp avec manon l'écrivain fantastique, parce que à vous je vais décéder. allez j'vais me préparer ma tombe. avant ça je te valide et je te supprime tout le blabla inutile parce que t'es chez toi. |
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| Sujet: Re: la beauté silencieuse | |
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