SIN AMOR
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 Aden & Romane. ▲ Généralement quand on trouve quelqu'un avec une arme à la main, c'est lui le tueur.

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Aden C. Baker

Aden C. Baker
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MessageSujet: Aden & Romane. ▲ Généralement quand on trouve quelqu'un avec une arme à la main, c'est lui le tueur.   Aden & Romane. ▲ Généralement quand on trouve quelqu'un avec une arme à la main, c'est lui le tueur. EmptySam 21 Sep - 15:19

Oh, you're in my veins, and I cannot get you out.

Est-ce que j'ai l'air d'un tueur pour vous ? Oui vous tuez ma patience
.



Le travail d'un écrivain était avant tout d'écrire. Cela reste un métier tout de même, cependant pour Aden cela n'était pas vraiment ça … Il faut avoir qu'Aden avait horreur de travailler, par conséquent quand il avait l'impression de travailler, il faisait quelque chose de radical : il tuait le personnage principale de ses livres c'est ce qui s'était passé avec son dernier personnage et résultat aujourd'hui il avait droit au syndrome de la page blanche, mais en plus il avait droit à sa maison d'édition sur le dos, mais pour autant Aden ne se pressait pas, pour lui c'était sûr quand l'inspiration le frapperait, il écrirait, mais pour l'instant … elle n'arrivait pas et par conséquent Aden n'écrirait pas. De ce fait il restait toute la journée chez lui à jouer aux jeux vidéos, distraire sa fille et regarder la télévision, mais pour autant aujourd'hui une rencontre aller changer sa vie. Enfin plutôt une mauvaise situation allait l'emmener à faire une grande rencontre.

«Salut.» Tasse de café à la main, Aden était tranquillement posé sur son tabouret en train de lire le journal quand sa fille pénétra dans la cuisine . Alexandra était sûrement la fille rêvée pour tout père : elle ne sortait pas, faisait toujours ses devoirs, ramenait d'excellentes notes, était mature, ne ramenait pas de garçons, n'avait pas de crises de rébellion et en plus elle était responsable. Mais ce qu'il préférait avec Alexandra était le fait qu'elle ne mentait jamais, hors il n'avait qu'à voir comment elle se comportait ce matin pour comprendre que visiblement sa fille tentait de lui cacher quelque chose … en vain. «Alexandra Mary Baker, je te connais comme si je t'avais fais, alors à présent dis moi ce que tu tentes de me cacher.» La jeune adolescente releva son regard et plongea ses deux perles azures dans celles de son père. «Je t'ai menti … Hier je ne suis pas allée chez Roxy mais … J'ai été révisé chez Matt. Je te promet qu'il ne s'est rien passé, même pas un baiser. Voilà je suis désolé.» Tandis qu'il regardait sa fille baisser la tête, il posa sa tasse sur le bar en marbre noir et sourit intérieurement. «Ca va Alex c'est bon. Je te pardonne, mais ne me mens pas, pas de secrets entre nous t'as oublié ? Pour la peine t'es privée de dessert ce soir et c'est non négociable jeune fille.» Aden n'était pas un père sévère, mais c'était ou ça ou bien Alexandra était capable de se punir toute seule, se levant il embrassa sa fille sur le front. «Je t'aime.» «Moi aussi je t'aime, papa.»

«Kris ?» Pénétrant dans l'appartement, l'écrivain était à la recherche de sa photographe, cela faisait plusieurs jours qu'il avait commandé des clichés de sa fille, sa mère et lui pour en mettre une principale dans les escaliers, une magnifique photo au format paysage d'1m80X3 en noir et blanc et pour cela il s'était automatiquement tournée vers Kristina, une amie mexicaine qu'il connaissait depuis la fac et qui s'était lancée dans la photo après avoir été repéré par un magazine. Depuis elle avait fait fortune et travaillait au service des plus grandes stars dont Aden. Mais généralement ce n'était pas pour sa célébrité mais bel et bien parce qu'il était un ami de longue date. Ainsi en trouvant la porte ouverte, l'écrivain pénétra dans l'immense appartement qui semblait faire aussi de bureau au vu du nombre de pellicule qui y traînaient. Néanmoins une chose clochait, Aden s'avait que son ami restait ici le vendredi pour travailler et puisque son téléphone avait sonné, il était certain qu'elle était bel et bien là quelque part, oui mais où ? S'avançant vers la chambre noire, Aden retint sa respiration avant d'ouvrir la porte immaculée de sang et là ce qu'il vit le foudroya sur place. Son amie baignait dans ce qui semblait être son sang mélangé à dans le produit qui servait à développer des photos.   Rapidement il prit son amie dans ses bras et la déposa au sol afin de prendre son pouls, malheureusement c'était trop tard. Entendant des bruis de pas venant du salon, il récupéra un couteau qui traînait par là et sortie sans un bruit de la pièce avant d'être aveuglé par la lumière, cependant il ne lui fallut qu'une seule phrase pour se rendre compte qu'il était mal. «Police d'Accapulco, lâchez votre arme.» Aden lâcha le couteau tandis qu'un des trois flics se rendait dans la chambre noire avant d'en ressortir quelques secondes plus tard en signalant à ses collègues que la jeune femme était morte. «Aden Corey Baker, je vous arrête pour le meurtre de Kristina Sanchez. Tout ce que vous pourrez dire sera retenu contre vous lors de votre procès devant un juge fédéral ...» «Ça va, moi aussi je regarde les films à télé et j'ai pas besoin de prendre d'avocat car je n'ai rien fais.»A la suite de cela une magnifique brune ce mit en face de lui, il faut savoir que des jolies femmes, Aden en avait connu, mais elle ... elle dégageait quelque chose en dehors de son corps de rêve ... Immédiatement il sût qu'il devait en savoir plus sur elle. Il n'eut même pas eu le temps de comprendre ce qu'elle lui disait, il remarqua seulement son sourire sarcastique avant qu'elle ne le menotte, dans d'autres circonstances, Dieu seul sait à quel point il aurait aimé ça, mais là ... il secoua la tête et se embarquer en se demandant comment est ce qu'il allait bien pouvoir s'en sortir.


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Dernière édition par Aden C. Baker le Mer 25 Sep - 9:59, édité 1 fois
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T. Romane Wilson

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MessageSujet: Re: Aden & Romane. ▲ Généralement quand on trouve quelqu'un avec une arme à la main, c'est lui le tueur.   Aden & Romane. ▲ Généralement quand on trouve quelqu'un avec une arme à la main, c'est lui le tueur. EmptyDim 22 Sep - 11:21

Aden&Romane
« I just don’t know if I want to do it anymore, get close to somebody so they can leave again. »  



Il faisait déjà chaud dans les rues d’Acapulco quand Romane se mit à courir. La laisse de sa chienne Clio dans une main, ses écouteurs enfoncés dans ses oreilles, Romane parcourut un bout de chemin avant de faire demi-tour dans une allure plus lente. Elle n’était pas si essoufflée que cela mais Clio quant à elle n’en menait pas large. Du haut de ses quelques mois, elle n’était pas habituée à courir si longtemps bien qu’elle adorait cela. Mais cela avait au moins l’avantage de la fatiguer suffisamment pour que Romane ne retrouve pas son appartement sans dessus-dessous en rentrant ce soir. « Sois sage hein ! » Un sourire amusé se dessina sur les lèvres de la jeune détective quand elle remarqua la moue suppliante de Clio. Elle savait très bien que cette dernière ne supportait pas de rester seule toute la journée mais la jeune femme n’avait pas d’autres choix, son chef n’accepterait jamais que Clio vienne mettre le bordel dans leurs bureaux. Refermant la porte d’entrée de son appartement, elle se dirigea vers sa voiture, direction sa seconde maison.

« Wilson, on a un souci. » Fronçant légèrement les sourcils, Romane releva la tête avant de plonger son regard dans celui de son co-équipier. Cela faisait déjà plusieurs jours qu’ils trainaient des pieds sur une enquête, incapable de trouver une quelconque piste intéressante. Déjà trois femmes étaient mortes en deux semaines, toutes ayant le même profil physique. Il n’en avait pas fallu plus pour que les détectives penchent pour la thèse d’un tueur en série mais ils n’avançaient pas plus quand à l’identité du tueur. « Un homme a appelé, il a entendu sa voisine hurler et a vu un homme rentrer dans son appartement. Il nous a décrit sa voisine, elle correspond au profil physique des autres victimes. » C’était leur chance de faire avancer l’enquête, parce qu’à l’allure où ces femmes mourraient, la paranoïa allait vite gagner la ville. Quelques minutes après, ils étaient déjà tous les trois dans leur véhicule, traversant les quelques rues à toute allure. Avec un peu de chance, l’assassin serait encore en train de nettoyer la scène de crime comme il savait si bien le faire.

Appuyée sur le mur à côté de la porte d’entrée, Romane donna le signal pour que Ryan défonce la porte. Son arme pointée devant elle, la jeune détective avança rapidement dans l’appartement. Se déployant tous les trois dans l’appartement, ils tombèrent rapidement nez à nez avec des traces de sang qui les menèrent à une porte. Ils ouvrirent la porte à la volée avant qu’un homme n’apparaisse devant eux, un couteau à la main. S’apprêtant à tirer, Romane pointa son arme sur l’homme sans aucune hésitation. « Police d’Acapulco, lâchez votre arme ! » L’homme lâcha son arme et aussitôt, Javier la lui retira avant de s’approcher de la victime. « Elle est morte. » Mais Romane s’était figée depuis qu’elle avait reconnu le visage de cet homme, ce n’était pas possible… Mais elle savait que trop bien que les apparences pouvaient être trompeuses. Alors même si elle était une grande fan des livres de Baker, elle n’allait pas le laisser filer pour cette simple raison. « Aden Corey Baker, je vous arrête pour le meurtre de Kristina Sanchez. Tout ce que vous pourrez dire sera retenu contre vous lors de votre procès devant un juge fédéral ... » Aden Baker, l’un des auteurs que Romane préférait dans ce monde, probablement même celui qu’elle préférait de tous. Alors oui, s’il était réellement l’auteur de ces crimes, elle allait avoir du mal à l’imaginer croupir dans une prison tout en continuant d’écrire. « Ça va, moi aussi je regarde les films à télé et j'ai pas besoin de prendre d'avocat car je n'ai rien fais. » Raccrochant son téléphone après avoir informé l’équipe scientifique pour qu’ils viennent récupérer le corps, Romane se rapprocha de Ryan et de l’écrivain, un air légèrement sarcastique au visage alors qu’elle lança  « J’imagine que vous avez aussi appris à faire le malin en regardant la télévision ? » Sortant ses menottes, elle le menotta sans ménagement. Non, elle ne s’était pas attendue à le rencontrer de cette manière mais elle ne l’avait pas imaginé en tant que meurtrier non plus.

Soufflant une dernière fois, Romane poussa la porte de la salle d’interrogatoire avant de se retrouver face à l’écrivain. Oh, elle n’était pas aussi à l’aise qu’elle aurait bien voulu l’être, elle était une grande fan de lui depuis des années déjà bien que très peu de personnes sont au courant. Alors se retrouver face à lui pour lui faire avouer un meurtre, ce n’était pas exactement la rencontre qu’elle aurait voulu. Mais c’était très mal la connaître que de penser qu’elle allait être différente avec lui, qu’elle allait lui dire qu’elle était fan de lui. Jamais elle n’admettrai une chose pareille… Le dossier de Baker à la main, elle s’installa sur sa chaise avant de croiser ses bras et de plonger son regard dans le sien. Note à elle-même : il était bien plus attirant en vrai que sur les pages peoples. « Vous avez un casier bien rempli pour quelqu’un qui passe son temps à écrire des romans policiers. Refus d’obtempérer, conduite en état d’ivresse et j’en passe. Vous commenciez à vous ennuyer alors vous êtes passé aux choses plus sérieuses ? Le meurtre par exemple ? » Penchant légèrement la tête, Romane l’observa avec attention, attendant que son comportement ne trahisse son stress ou quoique ce soit. Mais pour le moment, il semblait presque amusé d’être là. Elle savait que pour le moment, il n’avait pas demandé d’avocat et c’était bien plus simple de l’interroger sans la présence de ce dernier. « On vous a retrouvé sur la scène du crime de mademoiselle Sanchez, avec l’arme du crime à la main. Une explication intelligente a partagé avant que la scientifique ne vienne confirmer que vous êtes le meurtrier ? »

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Aden C. Baker

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MessageSujet: Re: Aden & Romane. ▲ Généralement quand on trouve quelqu'un avec une arme à la main, c'est lui le tueur.   Aden & Romane. ▲ Généralement quand on trouve quelqu'un avec une arme à la main, c'est lui le tueur. EmptySam 28 Sep - 15:06

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Est-ce que j'ai l'air d'un tueur pour vous ? Oui vous tuez ma patience
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Assit dans une salle interrogatoire, Aden regardait tout autour de lui curieux de l'endroit où il se trouvait. Bizarrement il n'était même pas inquiet pour la suite, il savait ce qu'il avait fait ou pas fait et là, il en l’occurrence il n'avait pas tué Kristina. Ainsi, il trépignait d'impatience que la jolie inspectrice qui, et il en était persuadé, était la chef d'équipe et qui était censé l'interroger. Et ça ne manqua et dès qu'elle entra dans la pièce, Aden put sentir à quel point elle pouvait être impressionnante et sûr d'elle. Lui souriant, il la détailla du regard avant de reporter son intention sur ses paroles. « Vous avez un casier bien rempli pour quelqu’un qui passe son temps à écrire des romans policiers. Refus d’obtempérer, conduite en état d’ivresse et j’en passe. Vous commenciez à vous ennuyer alors vous êtes passé aux choses plus sérieuses ? Le meurtre par exemple ? » Toujours avec son sourire aussi adorable qu'agaçant Aden semblait satisfait de lui. «Vous savez comment sont les garçons … Et je ne m'ennuie jamais détective, je trouve toujours le moyen de m'amuser dans n'importe quelle situation et pour votre information je ne l'ai pas tuée. Kristina était mon amie, pas comme le pensez, mais c'était réellement mon amie.» Néanmoins la jeune femme ne sembla pas convaincue et revenu à la charge pour le plus grand plaisir d'Aden. « On vous a retrouvé sur la scène du crime de mademoiselle Sanchez, avec l’arme du crime à la main. Une explication intelligente a partagé avant que la scientifique ne vienne confirmer que vous êtes le meurtrier ? » «Vous êtes vraiment têtue quand vous voulez, je ne l'ai pas tuée. Si vous m'avez trouvé avec ce couteau à la main c'est seulement parce que j'ai cru que le meurtrier revenait pour laver la scène de crime, non mais franchement qui laisserait un tapis vénitien couvert de sang ? Vous voyez ça c'est un crime ! Ecoutez je suis écrivain de best-seller, vous pensez vraiment que si jamais je devais tuer quelqu'un je le ferais ainsi?» Au vu de la tête de la jeune femme il comprit. «Alors ça c'est méchant!» A peine quelques secondes plus tard, il vit le capitaine du poste convoqué son lieutenant tandis qu'Aden le saluait et quelques minutes plus tard on lui annonçait qu'il était libre. Ainsi, passant devant les quelques détectives qui le fixaient, il s'arrêta devant Wilson. «Et bien lieutenant ça a été un plaisir, d'ailleurs revenez me voir quand vous voulez, vous n 'avez pas idée à quel point j'ai hâte que vous me menotiez, mon mot de passe est pineapple. Au plaisir de vous revoir.» Et avec un sourire arrogant et narquois, l'écrivain quitta le commissariat.

Arrivant au poste après son passage il y a déjà trois semaines. Bizarrement après sa rencontre avec la jolie policière l'inspiration était revenue et surtout il avait surtout envie de la revoir car les femmes qui lui résistait était de plus en plus rare comme la neige en été. Ainsi le fait que la jeune femme ne réponde non seulement pas à ses messages, mais aussi à ses coups de téléphone, lui donnait encore plus d'aller la retrouver. Et il avait enfin trouver le moyen de le faire. En effet, il y a quelques jours Aden avait reçu une lettre de menace et à présent il se retrouvait dans le bureau du capitaine. «Aden qu'est ce que tu fais ici et ne me dis pas que c'est pour mes beaux yeux, je n'y croirais pas.» «En fait je suis là parce que j'ai besoin de ton aide, vois-tu il y a quelques jours j'ai reçu ça.» Il lui tendis la lettre.«Et je me demandais si j'aurai droit à une protection policière?» Après plus d'une heure de négociation, le bel écrivain ressorti enfin avec ce qu'il voulait, il n'avait plus qu'à attendre la belle détective.

Vers les 10h30, Romane Wilson fit enfin son apparition pour le plus grand plaisir d'Aden qui l'attendait sagement sur une chaise près de son bureau. Assit tranquillement, il jouait avec son téléphone après avoir fouiller dans ses affaires, il ne fut d'ailleurs pas surprit qu'elle soit mécontente de le voir. «Voyez-vous détective, je suis sous protection policière, la votre et par conséquent je vais devoir vous suivre comme votre ombre.» Un sourire narquois et un baiser sur la joue plus tard, Aden ressortait du bâtiment fière de lui.


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T. Romane Wilson

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MessageSujet: Re: Aden & Romane. ▲ Généralement quand on trouve quelqu'un avec une arme à la main, c'est lui le tueur.   Aden & Romane. ▲ Généralement quand on trouve quelqu'un avec une arme à la main, c'est lui le tueur. EmptyDim 3 Nov - 13:19

Aden&Romane
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« Oui, bonjour c’est Aden Bak… »  Levant les yeux au ciel tant par énervement que par désespoir, Romane coupa son téléphone avant de soupirer longuement. Combien de messages Aden avait-il laissé sur son téléphone, arrivant presque à saturer sa boîte vocale ? Comment avait-il eu son numéro ? Tant de chose qui énervaient Romane de jour en jour, puisqu’Aden ne semblait pas comprendre qu’elle comptait l’ignorer jusqu’à ce qu’il abandonne. Mais il n’abandonnait pas, même après trois semaines de silence de la part de Romane. Elle ne savait clairement pas quoi penser de cet acharnement de la part d’Aden. Parce qu’elle ne comprenait pas. Parce qu’il était aussi énervant qu’attirant. Mais elle n’était pas ce genre de femmes à courir dans les bras d’un homme dès lors qu’il lui montrait un brin d’intérêt. Parce qu’elle n’avait pas confiance en eux et ce depuis des années déjà. Et ce n’était sûrement pas la réputation d’Aden qui allait l’aider à franchir ce cap.
Telle une pilote, elle gara sa voiture devant le poste à tout juste 10h30. Elle était en retard, du moins, comparé à l’heure où elle avait l’habitude d’arriver. Mais il n’y avait pas d’enquête aujourd’hui alors elle avait passé le début de sa matinée chez elle, à retourner une fois de plus le dossier du meurtre d’Oksane. C’était son passe-temps, aussi malsain puisse-t-il être. Mais même après 19 ans, elle n’arrivait pas à s’en décrocher. Parce qu’elle était habitée par ce sentiment d’injustice si fort qu’elle ne pouvait se résoudre à tout arrêter. Alors souvent, elle passait des heures et des heures à refaire les détails, à essayer de se rappeler des visages des hommes qui les avaient tabassés. Mais le coma dans lequel elle avait été plongé après son attaque avait rendu ses souvenirs si flous qu’elle n’avait jamais réussi à se rappeler des visages des assassins. Alors elle s’était plongée à corps perdu dans des recherches toujours plus vaines, à rajouter des détails sur le tableau qu’elle cachait sous son lit. Elle savait qu’un jour elle y arriverait, peut-être au péril de sa vie s’il le fallait.
C’est donc relativement remuée, comme à chaque fois qu’elle pensait à Oksane, que Romane sortit de l’ascenseur en ce beau matin. Si aucune enquête ne pointait le bout de son nez rapidement, elle allait probablement passer sa journée à faire des papiers, chose qu’elle détestait tant qu’un tas affreux avait tendance à s’accumuler de jour en jour sur le coin de son bureau. Mais ce n’est pas ce fameux tas de papier qui stoppa Romane au beau milieu du poste. Aden. Aden Baker, l’homme qu’elle tentait d’ignorer depuis trois longues semaines et dont elle était secrètement une grande fan était assis à côté de son bureau. Et vu le bordel sur son bureau, il ne s’était visiblement pas gêné pour fouiller ses affaires sans demander quoique ce soit. Aden était beau, attirant mais réellement, Romane n’avait jamais imaginé qu’il puisse être si agaçant. « Envie de faire un petit tour en garde à vue ? » Un sourire sarcastique se dessina sur les lèvres de Romane avant qu’Aden ne reprenne, toujours si… agaçant.«Voyez-vous détective, je suis sous protection policière, la vôtre et par conséquent je vais devoir vous suivre comme votre ombre. » Si Romane n’était pas capable de prendre sur elle, elle se serait très certainement précipitée dans le bureau de son chef pour lui demander si c’était une blague. Une grande blague. Mais c’était sans compter le fait qu’Aden l’embrasse sur la joue avant de disparaître, la laissant totalement plantée à côté de son bureau. Se mordant doucement la lèvre, un sourire se dessina involontairement sur ses lèvres avant qu’elle ne réagisse. Non, elle n’allait pas se laisser faire.

C’est avec un air désespéré que Romane arriva ce matin-là au poste. Elle avait tenté la veille de dissuader son chef de la mettre sur cette protection, en vain. « Vous comprenez, c’est le maire qui l’a décidé. » Forcément, elle aurait dû se douter qu’Aden avait tous les politiciens du coin dans la poche, surtout quand cela pouvait rendre la vie de Romane impossible.  C’est donc ce beau matin qu’Aden devait la rejoindre au bureau, pour sa soi-disant « protection » dont il avait besoin. S’il espérait qu’elle allait passer la journée à faire le poteau à côté de lui, il pouvait toujours courir. Elle avait tout de même réussi à négocier le fait qu’elle pouvait continuer d’enquêter, Aden devrait simplement être avec elle et elle était responsable de lui. Autant vous dire que l’idée était loin de plaire à Romane.

« Zoé Lawkins, 6 ans. Sa mère vient de déclarer sa disparition. Elle a été vue pour la dernière fois dans le parc au coin de leur rue. » Romane plaqua la photo de la petite brunette sur le tableau blanc avant d’y inscrire le nom de la petite en-dessous. S’il y avait bien des enquêtes qu’elle détestait par-dessus-tout, c’étaient celles avec des enfants. Parce qu’ils n’avaient jamais rien demandé, parce qu’ils n’avaient pas à vivre des choses pareilles. Tout ce qu’elle espérait maintenant, c’était de retrouver cette petite Zoé vivante. Du coin de l’œil, elle observa Aden, soudainement beaucoup plus calme que tout à l’heure. Parce qu’il était avec elle depuis cinq heures et ça avait été les cinq plus longues heures de sa vie, entre le fait qu’il n’arrêtait pas de parler et qu’elle avait dû le suivre dans la rue pour qu’il s’achète un hot dog…

Les minutes défilaient rapidement, trop rapidement pour Romane qui savait à quel point chaque minute était importante quand il s’agissait d’un enfant. Elle était tendue, incapable de souffler un instant pour reprendre les choses posément. Parce que cette histoire était tordue, que les pistes aboutissaient toutes à des impasses. Ils étaient désormais presque certains que la famille n’avait rien à avoir avec la disparition et fouillaient maintenant les pistes externes. « Wilson ! » Elle releva la tête, sortant brusquement de ses pensées tout en arrêtant de mordiller le feutre du tableau.  « Mr Lawkins, il ne nous a pas tout dit. Il a fréquenté un gang il y a une dizaine d’années de ça maintenant. Et devine quoi ? Il a changé de nom il y a exactement neuf ans. » C’était trop beau pour n’être qu’une coïncidence, les chances que le père de Zoé ait changé d’identité pour fuir ce gang étaient énormes. Peut-être le gang l’avait-il retrouvé et tenait Zoé en otage contre une quelconque revanche ? « On ne va jamais réussir à négocier quoique ce soit avec ce gang, et… et le temps presse. » Romane pencha légèrement la tête, il était clair que la police n’avait jamais réussi à négocier quoique ce soit avec ce gang, mais la vie de la petite Zoé était en jeu. Alors oui, elle était prête à tout pour retrouver la petite saine et sauve. Même à risque sa vie.

« Café ? » Elle se pinça légèrement les lèvres avant de tendre une tasse de café à Aden. Elle le trouvait étrangement calme depuis l’annonce de la disparition de Zoé et… ça l’étonnait. Parce qu’il avait passé la matinée à faire le malin dans le bureau, à l’ennuyer à propos de tout et là… plus rien. Et vraiment, si Romane était capable de parler avec les victimes, elle n’avait jamais eu à « rassurer » quelqu’un qu’elle devait surveiller et qui la suivait comme son ombre. Elle se laissa tomber sur sa chaise, à côté d’Aden avant d’avouer avec un sourire aussi amusé que fataliste. « Beaucoup plus difficile à vivre dans la réalité qu’à travers les pages d’un livre non ? » Oui, elle n’avait pas envie qu’il soit, elle n’avait toujours pas envie de le surveiller mais son changement de comportement l’avait touché. Parce que derrière ce gamin de 41 ans, Romane découvrait une autre facette de sa personnalité.


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MessageSujet: Re: Aden & Romane. ▲ Généralement quand on trouve quelqu'un avec une arme à la main, c'est lui le tueur.   Aden & Romane. ▲ Généralement quand on trouve quelqu'un avec une arme à la main, c'est lui le tueur. Empty

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