NOM : hempstead venant de mon père, chirurgien plastique et tombeur de ses dames. PRÉNOM(S) : mads, un choix fait par ma mère pour rendre hommage à mon grand-père maternel dont elle était proche, surement la seule chose maternel qu'elle est fait. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : vingt cinq octobre à Shreveport, louisiana. ÂGE : vingt-huit ans, comme mes deux frères, flyod et jaden. ORIGINES : américaines, par mes deux parents. STATUT CIVIL : divorcé d'un commun accord. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel. PROFESSION/ETUDES : médecine chercheur. AVATAR : ian somerhalder.

PSEUDO/PRÉNOM : delena/emilie. AGE : vingt et un, bientôt vingt deux ans . PAYS : france. ES-TU UN SCENARIO ? non, enfin même si l'idée de personnage vient de la sublime ninon. FRÉQUENCE DE CONNEXION : tous les jours si tout va bien. COMMENT AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? la question inutile quoi . QU'EN PENSES-TU ? je le surkiffe. UN PETIT MOT POUR LA FIN : je vous kiffe les gens  .

Avant le départ de Floyd – C’était un matin plutôt calme malgré la chaleur qui mexicaine. Comme chaque matin, je me lève plutôt envieux de ma nouvelle journée de travail et évidemment, comme à mon habitude je prépare le petit déjeuner pour chacun de nous trois. C’est étrange, mais malgré le fait que nous soyons triplés et que je ne m’entends pas spécialement avec mon jumeau je sais que je ne peux pas vraiment vivre sans eux, ils font partie de moi. Cependant, une chose dont je ne m’attendais pas arriva brusquement. Alors que je m’installais à table, que Jaden me suivit et que Floyd arrivait à table, nos parents nous regarder plutôt ravi de nous voir aussi autonome et énergique. Ce qu’ils ne savent pas c’est que mon jumeau avait fait un choix plutôt déterminant. Il se racla la gorge et je le regardais un peu surpris, il avait l’air insistant. « Floyd ? Tu as quelque chose à dire ? » Ajouta mon père d’un ton qui voulait tout dire. Soit tu t’excuses de faire autant de bruit, soit tu parles. Je soupirais, posant ma tasse et attendant la réponse de mon frère. « Oui, j’ai pris une décision et celle-ci est affective dès ce soir. » Je fronçais le regardant, questionnant Jaden en ayant l’espoir qui me dise de quoi il parle, malheureusement, mon frangin n’en savait rien. « Et bien nous t’écoutons mon fils. » Il souriait, mon père essayer de montrer son côté paternel et proche de nous alors que depuis que nous sommes nés nous l’avons vu qu’entre deux rendez-vous. Enfin, là n’est pas le problème, ce que je voulais savoir c’est la décision qu’avait pris mon jumeau et comprendre pourquoi il nous en a pas parlé. « Je viens d’être engagé à l’armée, je souhaite faire mon service militaire, j’ai eu la réponse et je pars ce soir. » Je me tourner vers lui rapidement. « Pardon ? Tu pars ? Tu te fous de moi ou quoi Floyd ? Tu ne m’en as même pas parlé ! » Il soupira ajoutant simplement. « Tu sais aussi bien que moi que nous ne sommes pas vraiment proche tous les deux non ? Alors à quoi bon en parler, c’est mon choix, respecte-le. » Je serrer les dents, me levant alors rapidement. « Ah c’est sûr que vu comme ça on ne peut pas être proche ! Et bien soit, tire-toi, mais crois-moi, à partir de maintenant, tu n’existes plus pour moi. » J’étais dur mais j’étais surtout blessé et au fond de moi cela me faisait mal. Je quittais la table et mon père soupira en scrutant la réaction de Jaden. « Et bien je ne sais pas quoi te dire, ça me déçois et d’un autre, cela me surprend pas. Fais juste attention à toi. » Il lui sourit doucement et venait quitter la table à son tour, laissant Floyd avec mes parents, eux ne comprenant pas et voulant le faire changer d’avis, peine perdu, il a quitté la maison pour quelques années de terrain.

Après le départ de Floyd – Il est parti, mon jumeau nous a abandonner. Sans déconner, j’ai beau ne pas le porter dans mon cœur, ou disons le supporter, il reste mon frère. Je n’arrive pas à le croire et après avoir vu son taxi quitter la rue de notre résidence je venais rejoindre la chambre de mon second frère. Mes parents étaient tous deux au salon, surement en train de s’occuper alors que l’un de leur fils venait de quitter la maison. Cela devenait limite déprimant. Avançant vers la porte de la chambre de Jaden je venais ouvrir et ajouter. « Hey, comment tu te sens ? » Il venait me sourire en hochant doucement les épaules. « Je me sens bien, disons que je respecte son choix si c’est ce que tu veux savoir. » Je soupirais. « Comment tu peux accepter son abandon ? Ce n’est qu’un lâche Jaden ! » Il venait me regarder plutôt contrarié et même agacer. « En quoi cela te gêne Mads ? Sérieusement, depuis qu’on est né toi et Floyd vous êtes en conflit continuellement, tu ne le supporte pas et lui non plus alors ou est le problème hein ?! Avance, passe à autre chose, et puis si cela te gêne autant c’est qu’au fond de toi il compte pour toi, alors au lieu d’être en colère appelle-le et dis-lui avant qu’il quitte vraiment la ville. » J’étais plutôt surpris par ses paroles et au fond je le sais, il n’a pas tort. Mais j’ai ma fierté, nous l’avons tous les deux avec Floyd et ni l’un ni l’autre ne feront le premier pas pour l’avouer. Je grimaçais, m’installant sur le lit de mon frère et essayant de passer à autre chose. « Je sais que t’as raison mais, je ne sais pas, ça me soule son départ. » Il venait s’installer à mes côtés. « Je sais et tu sais aussi que je suis là et crois moi je te lâcherais pas. Il m’a demandé de veillé sur toi tu sais. » Je le regardais un peu surpris avant de venir sourire bêtement. C’est un conflit perpétuel pour moi et mon jumeau, on ne sait pas pourquoi mais c’est ainsi, nos caractères sont bien trop fort et nous n’arrivons pas à nous supporter. Avec Jaden c’est tout l’inverse, on s’entend bien, même trop que parfois on a du mal à imaginer comment c’est possible. Je ferais n’importe quoi pour mon frère et Jaden est mon pied droit, si je l’ai pas je tombe.

Certains disent que le coup de foudre n’existe pas, d’autres dise que l’amour n’est pas l’amour lorsque l’on a que dix-huit ans et pourtant moi j’ai rencontré Anastasya et j’ai tout de suite su que nous étions fait l’un pour l’autre. Certes, la vie change, nos caractères et nos attentes aussi mais les regrets n’existent que lorsque que nous ne vivons pas les choses à fond. C’est au lycée que j’ai eu l’occasion de faire la rencontre de cette brune sulfureuse, discrète mais ayant un caractère plutôt bien trempés. Anya est le genre de fille qu’on ne peut pas oublier. Notre relation fut délicate dans les premiers moments et tout doucement l’amour c’est créé, l’école de médecine nous a pas mal rapproché et puis notre relation devenant sérieuse, mes parents ont souhaité un mariage. Le hic, c’est que moi j’ai jamais trop été pour ce genre de choses, le mariage c’est trop officiel, nous n’avions que vingt-trois ans et moi j’avais envie d’apprendre à vivre avant de m’engager. Mes parents n’ont pas compris, j’ai accepté et aujourd’hui notre amour est détruit. « Je suis rentré » Ces mots résonnèrent dans ma tête, celle de ma femme qui venait de franchir le seuil de la porte de notre appartement. Un soupire de lassitude venait prendre vie en moi et je venais lui sourire faussement en venant lui offrir un simple baiser. Je voyais en elle un sourire crispée, tout cela n’avait aucun sens. « Bonne journée ? » Encore et toujours les mêmes questions. Lassant ? Totalement. Cependant, nous sommes en couple, ne pas nous parler serait tellement ennuyant. « Et si on arrêter avec les questions débile ? » Je relevais mes yeux vers Anya, elle me surprit dans ces paroles mais elle posait la question qui me trottait en tête depuis un moment. « Je suis d’accord. » Elle soupira en me regardant avec tendresse, malgré les soucis elle reste toujours aussi belle et gentille à mon égard. C’est frustrant de savoir que je ne l’aimais plus. « Je suis heureuse d’être ta femme, je t’aime tu le sais. Mais on se détruit, ont est pas heureux Mads et j’en ai marre de faire semblant. S’il te plait, accepte le divorce. » Je me mis à rire, la situation est loin d’être hilarante mais c’était presque énorme de la voir limite me supplier d’accepter. Hochant la tête je venais la prendre dans mes bras. « Avec plaisir. » Etrange non ? Pour moi non, c’est normal et logique. Je suis heureux et elle aussi, on va enfin pouvoir reprendre le contrôle de nos vies.  

Il y a des choses qui parfois nous donne des ailes et qui parfois nous est interdit. Cela fait maintenant trois ans que j’ai accueilli dans mon centre une jeune femme au prénom de Ninon et bien que j’ai un bon contact avec elle cela reste professionnel. Parfois il est vrai que je me permets certain contact et paroles avec elle que je ne me permets pas avec d’autres patients. Je n’aimais pas voir une femme souffrir, encore moins une femme comme Ninon. Son histoire, sa vie me touche énormément, elle me touche et j’aimerais pouvoir faire plus pour elle et je continue mes recherches pour cette maladie que je déteste par-dessus tout. Depuis la mort de mon fils alors qu’il n’avait qu’un an j’ai pris la décision d’ouvrir ma clinique et c’est ainsi que j’ai pu commencer à aider ces patients atteint de cette maladie. Malgré nos trois années passés ensemble, j’en connais plus sur elle que moi elle n’en connait sur moi et bizarrement, c’est lors d’un fameux soir ou j’avais eu la surprise de voir la jeune femme derrière ma porte d’entrée que je venais me livrer à la demande de la jeune femme. « Je peux vous posez une question docteur ? » Je la regardais alors hochant la tête avant d’ajouter. « Appelle moi Mads, ce soir il n’y a pas de docteur. » Elle venait me sourire en coin doucement avant de venir hochait la tête à son tour avant d’ajouter. « Pourquoi êtes-vous aussi affecter par cette maladie ? Un membre de votre famille l’a eu ou l’a ? » Cette question, bizarrement je m’y attendais plutôt bien. C’était logique qu’on me le demande et personne n’est au courant mise à part mon frère Jaden. Je souffre de l’absence de mon fils car malgré les apparences, cette paternité je l’a voulais car je tenais à cette fameuse « maitresse ». Nous avions eu un bon contact et lorsqu’elle m’avait annoncé cela je ne pouvais pas lui dire que je n’assumais pas cette grossesse, j’en suis autant responsable qu’elle. Enfin là n’est pas la question. « Et bien, disons que je ne suis pas fière de ce que je vais te dire mais… J’ai été marié, enfin durant quelques années, j’ai rompu mes fiançailles d’un commun accord et je ne l’ai dit à personne mais… J’ai eu un fils, hors mariage. Il était atteint de cette maladie, il est mort à l’âge d’un an et je n’ai jamais pu m’en remettre... » Je baissais les yeux doucement, cela encore maintenant, me touche. Je venais sortir une photo de mon portefeuille. « Voilà, c’est lui. Un petit garçon adorable et calme malgré la fatigue que lui procurer cette maladie. » Je lui souriais doucement, regardant mon fils je me souvenais des moments passer avec lui. J’étais fière d’avoir eu un fils comme lui mais je n’ai jamais pu le dire à Anya. « Je … Je suis désolée. En tous cas, il était mignon. » Je venais lui sourire, reprenant ma photo pour la mettre là où elle est toujours. Je venais m’ouvrir à elle et je venais prendre une gorgée de mon verre avant d’ajouter. « Ecoute Ninon, je n’ai parlé de cet enfant qu’à mon frère Jaden. J’aimerais que sa reste entre nous, si je te le dis c’est que j’ai confiance en toi. » Je venais lui attraper la main doucement. J’étais sincère et si seulement je pouvais lui dire que mes sentiments sont différents à son égard. Cependant, une relation patient/médecin n’est en rien recommandée et j’ai trop peur de souffrir à nouveau.