[justify]Il y a vingt ans de cela, plus précisément le quatorze février mille-neuf cent quatre-vingt douze, une jolie petite tête brune faisait son apparition. Ses parents lui donnèrent un prénom à la hauteur de la beauté qui venait de naître, Ismaël . Ismaël fût le premier enfant de la famille Strokes. Oui oui Ismaël c'est bien moi ! Je déteste qu'on parle de ma vie mais par contre je vais me faire un plaisir de vous racontez ce que j'ai vécu depuis que je suis née jusqu'à aujourd'hui, je pense que vous n'allez pas vous ennuyer, ben quoi ? ma vie est plus qu'intéressante (a). Je suis née dans une famille aisée et mon enfance fût plus qu'heureuse je l'avoue, je ne me plaindrais jamais de mon enfance bien au contraire. Mes parents m'ont toujours apportés tout l'amour dont j'avais besoin, je n'est jamais manqué de rien. Mon père était un grand avocat reconnu et ma mère une directrice de mode dans un journal national, je n'est malheureusement pas eu la chance de connaitre vraiment mon père, effectivement j'ai perdu mon père à l'âge de trois ans seulement,  je n'est que des photos de lui pour me rappeler vraiment à quoi il ressemblait.

Je suis loin d'être ce qu'on appelle un garçon fidèle, bien au contraire j’enchaînais les conquêtes à une allure phénoménale. Ma mère était loin d'aimer mon comportement, elle essayait par tous les moyens de me remettre dans le bon chemin, mais c'était peine perdu je profitais à fond de ma jeunesse avant de me ranger dans une relation dés plus sérieuse, je savais qu'un jour cela m'arriverait. Pour l'instant je profiter et j'étais très heureux comme cela, mes proches n'étaient pas forcément heureux de savoir la réputation de coureur de jupons que j'avais, mais après tout c'était ma vie hein je ne leur demandais rien du tout sauf peut-être de me laisser vivre ma vie comme je le voulais. Malgré tout ça je restais tout de même un garçon dés plus sérieux au niveau scolaire,  le droit m'avait toujours passionné et je ne voulais pas risquer de tout rater c'est pour cela que je travaillais beaucoup pour réussir mes examens de fin d'année, à côté de ça je sortais beaucoup au grand désarroi de ma mère qui faisait toujours tout pour me garder à la maison, mais j'avais vingt ans maintenant et j'avais besoin de voir d'autre chose.   Pendant mon temps libre, je suis tatoueur dans un salon de tatouage de la ville , je suis un grand passionné des tatouages et vu le nombre que j'en possède ce n'est un secret pour personne. Je travaille surtout avec passion, je n'est pas forcément besoin d'argent étant dans une famille aisée, l'argent n'a jamais vraiment était un problème pour moi.  Je suis loin d'être quelqu'un qui s'amuse à mettre en avant sa situation bien au contraire je reste moi même en toute circonstance quoi qu'il arrive, je suis pas le genre à chercher les problèmes mais quand on me cherche on me trouve facilement,  on me traite souvent de badboy mais sincèrement c'est la vérité, je suis pas un vrai méchant sauf si on s'en prend aux gens que j'aime, alors là je peux devenir vraiment méchant.

Je ne parle jamais vraiment de la mort de mon père, d'ailleurs peu de personne savent que j'ai perdu mon père dans un accident d'avion. J'étais tellement jeune que malheureusement je n'arrive pas à me souvenir vraiment de lui, à trois ans il s'en passe des choses. Désormais je n'avais plus que des photos pour me souvenir de son visage, j'en souffre intérieurement mais je ne le montre en rien pour ne pas avoir la pitié  des autres.  Désormais que je suis plus grand j’essaie d'un maximum prendre soin de ma mère, je me devais de me méfier des gens qui voulaient l'approcher mon père n'était plus là pour s'en occuper je me devais de prendre sa place, elle a refais sa vie avec deux hommes. Le premier je n'est jamais pu me le voir en photo, il était tellement désagréable en prenant ses aires de messieurs parfait avec ma mère, d'ailleurs j'avais fini par le mettre dehors à la demande de ma mère qui en pouvait plus. Je m'en rappellerais toujours, ma mère se trouvait contre le mur à cause de lui qui lui hurler dessus « tu n'as pas le droit de me quitter, tu seras rien sans moi t'es une minable ma pauvre, tu resteras éternellement seul avec ton fils. » Il avait levé sa main, mais avant qu'il ne touche un de ses cheveux je l'avais pris par le col en le bousculant dans les escaliers qui menaient à la porte d'entrer « elle veut plus de toi, tu dégages d'ici et n’essaie pas de revenir sinon je m'occupe de ton portrait. » avais-je dis tout en le poussant à l'extérieur de la maison. On a plus jamais entendu parlé de lui et autant dire que c'était la meilleure solution pour lui sinon j'y serai tombé dessus et je doute qu'il aurait aimé ça.  Le deuxième homme avait qu'elle avait commencé de fréquenter quelques mois après était quelqu'un de bien, j'avais confiance en lui pour une fois, il me prenait pour son fils et depuis maintenant trois ans il était avec ma mère. Ils étaient désormais heureux ensemble et j'étais soulagé que ma mère soit entre de bonne main, cela n’empêchais pas qu'il était au courant que s'il s'amusait à lui faire du mal il serait méchamment reçu par moi.   Je vivais désormais seul dans un loft en pleins milieu du centre ville, je me sentais bien et j'avais désormais mon propre chez moi ce qui était plus qu'un avantage. J'avais pendant encore un moment continué les coups d'un soir, ça me suffisait. Il y avait cette fille, Teoxanne, elle était une fille comme les autres avec qui j'avais passée la nuit, pour moi rien de plus enfin je n'aurais jamais pensé que cette nuit-là allait changer ma vie à tout jamais. Je n'avais pas cherché à garder contact avec, quelques mois c'était passée sans qu'il se passe quelque chose de plus dans ma vie. Un matin alors que j'étais entrain de fumer une cigarette sur un banc public  « ismaël ? » Cette voix, ce visage me disait quelque chose, teoxanne, voilà qui se trouvait en face de moi « Teoxanne ça fait plaisir de te voir » dis-je en  expirant la fumer, j'étais loin d'être un garçon affectif et elle n'était qu'une des filles avec qui j'avais couché donc j'en avais limite rien à faire d'elle. « Il faut qu'on parle c'est important » je fronçais les yeux tout en l'a voyant s'installer à côté de moi «  va-y je t'écoute » Répondis-je tout en l'a regardant, je devais bien avouer qu'elle était belle, mais ce n'est pas pour autant qu'elle allé changer quoi que ce soit en moi. « Je suis enceinte de toi » Ces quelques mots résonnaient dans ma tête, je manqua de m'étouffer à cause de ma cigarette, je l'a regardais en essayant de reprendre mes esprits  «  c'est impossible que ça soit moi et puis comment tu peux affirmer que c'est moi le père je suis sûr que je suis pas ton premier coup hein » dis-je avec un léger rire, ben oui genre elle pouvait se coup avec tous les mecs avec qui elle avait couché qu'une fois et j'allais pas tomber dans le panneau. « Non. J'étais vierge quand on l'a fait, tu étais ma première fois. » Et la ce fût le coup de massue, je ne savais pas comment réagir «  tu veux le garder ? » demande-je en l'a regardant tout en écrasant ma cigarette au sol «  oui je veux le garder et je veux qu'il connaissance son père. » Je fronça les sourcils un instant en réfléchissant, j'avais vécu avec l'absence de mon père et se n'est pas forcément facile à vivre c'est certain que je ne vais pas vivre avec elle tout simplement parce qu'elle est rien pour moi, mais je veux bien être là pour le bébé après tout j'étais aussi fautif qu'elle dans l'histoire «  D'accord, mais je te préviens on est pas en couple je fais ce que j'ai envie et toi tu fais de même » Finis-je par dire en l'a regardant dans les yeux, je voyais qu'elle était déçu mais sincèrement valait mieux pas qu'elle essai de tenter un truc parce qu'elle en deviendrait totalement folle avec moi.  «  je sais » [ ..]  Teoxanne était désormais enceinte de huit mois, ma mère avait plutôt bien prit le fait que j'allais être père même si je n'étais pas en couple avec la fille qui était enceinte, j'étais quoi qu'il arrive avec teoxanne et puis on était devenu de très bon amis, on s’entendait très bien ce qui était un réel point positif.  
Au bout de quatre semaines, le bébé était né j'étais désormais père d'une petite fille prénommé Lola, elle était magnifique et malgré mes résistances au début je dois bien avouer que j'étais heureux d'être père.  Teoxanne était venu habiter chez moi au début, on était très proche mais cela s'arrêtait à de la pure amitié pour moi, elle avait essayé plusieurs fois de bousculer les choses mais je l'avais toujours freiner. La petite grandissait à vu d’œil , elle avait désormais six mois. Tout ce passait pour le mieux la cohabitation était parfaite, je me levais comme tous les matins pour m'occuper de Lola, je n'entendais pas teoxanne donc je présumais qu'elle était sorti faire des courses ou voir des copines, je prenais lola dan mes bras tout en me dirigeant dans la cuisine pour lui donner le biberon, j’étais devenu un expert des couches et des biberons et j'en étais fière (a) se matin tout bascula, une lettre de teoxanne était affiché sur le frigo, je posais lola sur sa chaise haute et commençais à lire la lettre, «  je pars, prend soin de notre fille. Teoxanne »  voici les derniers mots qu'elle avait écrit et qui revenaient sans cesse dans ma tête, je regardais Lola en ne comprenant pas vraiment ce qu'il m'arrivait. Teoxanne venait de nous abandonné sans donner de raison valable, elle me laissait Lola. Je savais pas vraiment comment faire, j'avais terminé mes études depuis maintenant un an et je travaillais à pleins temps au salon de tatouage. J'en voulais énormément à Teoxanne et je comprenais en rien son geste, mais désormais lola était là et elle avait peut-être plus sa mère mais son père lui resterait avec elle quoi qu'il arrive. Les mois passèrent, Lola était désormais âgé d'un an, elle était tout aussi adorable et je l’élevais seul, Teoxanne n'avait plus jamais donné de nouvelle depuis la lettre. Je n'avais pas vraiment insisté après tout si elle avait voulu avoir des nouvelles elle savait où me joindre. J'étais déçu de son comportement surtout que je m'étais vraiment attaché à elle au final.  Quelques mois après les un an de la plus jolie des princesses, je reçu un sms de teoxanne je n'arrivais pas à en croire mes yeux sincèrement je ne pensais jamais plus que j'aurais de ses nouvelles est voilà qu'elle m’envoie un texto me disant qu'elle était de retour en ville et qu'elle s'en voulait d'avoir quitté sa fille comme ça, je ne répondis pas à son message. Pour moi elle ne méritait en rien d'avoir mon pardon, elle nous avait quitter avec une lettre et elle revenait comme ci de rien été, je suis sûrement trop rancunier pour lui pardonner aussi facilement.